3 sujets /NIMBE/LEEL

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Effet de la substitution sur les propriétés ferroélectriques et photocatalytiques de nanoparticules de titanate de barium

SL-DRF-24-0401

Domaine de recherche : Matière ultra-divisée, physico-chimie des matériaux
Laboratoire d'accueil :

Service Nanosciences et Innovation pour les Materiaux, la Biomédecine et l’Energie (NIMBE)

Laboratoire d’étude des éléments légers (LEEL)

Saclay

Contact :

Yann LECONTE

Date souhaitée pour le début de la thèse : 01-10-2024

Contact :

Yann LECONTE
CEA - DRF/IRAMIS/NIMBE/LEEL

0169086496

Directeur de thèse :

Yann LECONTE
CEA - DRF/IRAMIS/NIMBE/LEEL

0169086496

Page perso : https://iramis.cea.fr/nimbe/Phocea/Membres/Annuaire/index.php?uid=leconte

Labo : https://iramis.cea.fr/nimbe/leel/

Dans le cadre de la transition énergétique, la production d’hydrogène à partir de l’énergie solaire apparait comme un moyen de stockage puis de production d’énergie extrêmement prometteur. La photoélectrolyse de l’eau, pour se développer à grande échelle, a besoin de matériaux à haut rendement catalytique. Parmi les candidats envisagés, les matériaux dérivés des titanates de barium apparaissent prometteurs car leurs propriétés ferro- et piezoélectriques pourraient augmenter leur effet photocatalytique. Nous proposons donc dans ce sujet, mené en collaboration entre le LEEL du CEA et le SPMS de Centrale – Supelec, de synthétiser des nanoparticules de BaTiO3 par spray pyrolyse en flamme en opérant des substitutions sur Ba et O afin d’étudier l’effet de ces modifications sur les propriétés ferroélectriques du matériau. L’ajout d’inclusions de métaux nobles en surface des particules, susceptibles d’améliorer la catalyse, sera également réalisée lors de la synthèse de ces dernières. Enfin, des tests de photocatalyse et de piezocatalyse permettront d’établir les liens entre les phénomènes ferroélectriques et catalytiques dans cette famille de matériaux.
Création d’un jumeau numérique du procédé de Spray Pyrolyse en Flamme

SL-DRF-24-0402

Domaine de recherche : Simulation numérique
Laboratoire d'accueil :

Service Nanosciences et Innovation pour les Materiaux, la Biomédecine et l’Energie (NIMBE)

Laboratoire d’étude des éléments légers (LEEL)

Saclay

Contact :

Yann LECONTE

Date souhaitée pour le début de la thèse : 01-10-2024

Contact :

Yann LECONTE
CEA - DRF/IRAMIS/NIMBE/LEEL

0169086496

Directeur de thèse :

Yann LECONTE
CEA - DRF/IRAMIS/NIMBE/LEEL

0169086496

Page perso : https://iramis.cea.fr/nimbe/Phocea/Membres/Annuaire/index.php?uid=leconte

Labo : https://iramis.cea.fr/nimbe/leel/

Notre capacité à fabriquer des nanoparticules (NP) doxyde métallique avec une composition, une morphologie et des propriétés bien définies est une clé pour accéder à de nouveaux matériaux qui peuvent avoir un impact technologique révolutionnaire, par exemple pour la photocatalyse ou le stockage dénergie. Parmi les différentes technologies de production, les systèmes de Spray Pyrolyse en Flamme (SPF) constituent une option prometteuse pour la synthèse industrielle de NP. Cette voie de synthèse repose sur lévaporation rapide dune solution - solvant plus précurseurs - atomisée sous forme de gouttelettes dans une flamme pilote pour obtenir des nanoparticules. Malheureusement, la maitrise du procède de synthèse SPF est aujourd’hui limitée à cause d’une trop grande variabilité de conditions opératoires à explorer pour la multitude de nanoparticules cibles. Dans ce contexte, lobjectif de ce sujet de thèse est de développer le cadre expérimental et numérique nécessaire au déploiement futur de l’intelligence artificielle pour la maitrise des systèmes SPF. Pour ce faire, les différents phénomènes prenant place dans les flammes de synthèse au cours de la formation des nanoparticules seront simulés, notamment au moyen de calculs de dynamique des fluides. Au final, la création d’un jumeau numérique du procédé est attendue, qui permettra de disposer d’une approche prédictive pour le choix des paramètres de synthèse à utiliser pour aboutir au matériau souhaité, ce qui diminuera drastiquement le nombre d’expériences à réaliser et le temps de mise au point de nouvelles nuances de matériaux.
Analyse in situ par spectroscopie RMN MAS de batteries Li-ion

SL-DRF-24-0325

Domaine de recherche : Stockage électrochimique d’énergie dont les batteries pour la transition énergétique
Laboratoire d'accueil :

Service Nanosciences et Innovation pour les Materiaux, la Biomédecine et l’Energie (NIMBE)

Laboratoire d’étude des éléments légers (LEEL)

Saclay

Contact :

Magali GAUTHIER

Alan WONG

Date souhaitée pour le début de la thèse : 01-10-2024

Contact :

Magali GAUTHIER
CEA - DRF/IRAMIS/NIMBE/LEEL

01 69 08 45 30

Directeur de thèse :

Alan WONG
CNRS - DRF/IRAMIS/NIMBE/LSDRM


Page perso : https://iramis.cea.fr/nimbe/Pisp/magali.gauthier/

Labo : https://iramis.cea.fr/nimbe/LEEL/

La résonance magnétique nucléaire à létat solide (ssNMR) in situ est un outil de caractérisation précieux pour comprendre les réactions électrochimiques lors du fonctionnement dune batterie. Cependant, les larges signaux obtenus en condition statique empêchent souvent dexploiter totalement le potentiel de la caractérisation par RMN. Des expériences ssNMR ex situ, utilisant la rotation déchantillon à angle magique (MAS), sont souvent nécessaires pour interpréter les données in situ. Comme pour toutes les caractérisations ex situ, les analyses ne représentent pas toujours fidèlement les processus électrochimiques en raison dartefacts indésirables provenant du démontage de la cellule et de la séparation des électrodes. Par conséquent, le développement de la RMN in situ a été limité. Dans cette thèse l’étudiant sattaquera à cette limitation en développant une cellule électrochimique RMN in situ permettant lacquisition de données ssNMR à haute résolution avec la technique MAS, et permettant également une nouvelle méthode de spectroscopie ssNMR résolue dans lespace. La combinaison de mesures in situ, de la technique MAS et de la spectroscopie localisée permettra de disposer dun outil RMN unique pour approfondir les connaissances fondamentales de la chimie des batteries. Le doctorant mettra en évidence les atouts de l’outil développé en étudiant des phénomènes tels que les interfaces et la formation de dendrites dans des batteries Li-ion en fonctionnement.

• Matière ultra-divisée, physico-chimie des matériaux

• Simulation numérique

• Stockage électrochimique d’énergie dont les batteries pour la transition énergétique

 

 

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