Susceptibilité locale et aimantation du site atomique : d’une idée à la pratique. Partie 2

Le 16 février 2010
Types d’événements
Séminaire LLB
Isabelle Mirebeau
LLB – Bât 563 p15 (Grande Salle)
50 places
Vidéo Projecteur
Le 16/02/2010
de 14h30 à 14h30

Dans les composés géométriquement frustrés de type pyrochlores, des mesures effectuées sur quatre composés (R=Ho, Tb, Yb, Er) ont mis en évidence une anisotropie soit planaire (Er, Yb), soit axiale (Tb, Ho). L’essentiel des variations thermiques de la susceptibilité s’explique par le schéma de champ cristallin, déterminé indépendamment par diffusion inélastique de neutrons. Pour expliquer complètement la susceptibilité mesurée, il faut introduire dans un modèle de champ moléculaire, une interaction d’échange et /ou dipolaire. De façon surprenante, c’est aussi une grandeur tensorielle, c’est-à-dire anisotrope. Un nouvel élément à prendre en compte dans la théorie !

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